Voici quelques vidéos courtes(environ 1 min 30) qui pourront vous aider à comprendre notre raisonnement et notre réflexion autour de la conception de la méthode de lecture Kit et Siam.
Bonjour, je trouve votre méthode très bien faite et j’attends avec impatiente la pochette d’activités. Par contre, j’ai une petite question, pourquoi avez vous mis ai, ei, et dans la même page que le er, ez? Insistez vous avec les élèves sur les différentes prononciations?
Encore bravo pour tout ce travail !!
Bonjour, merci pour ce retour ! 🙂
Je me permets de copier-coller la discussion que nous avons eu à ce sujet sur le groupe Facebook de la méthode, en espérant que cela vous éclaire un peu sur notre réflexion !
« Les accents sont en effet des problématiques régionales. Nous précisons dans le guide ressources que chaque enseignant devra adapter la leçon en fonction de la prononciation locale. Dans de nombreuses régions, « poulet » se dit « poulé » et « frais » se dit « fré ». Il est impossible d’uniformiser en une leçon type les différentes de prononciation. Et en même temps, on nous suggère de plus en plus d’être tolérant et ne pas chercher à « déformer » les accents locaux que peuvent avoir les élèves. Donc l’idée, c’est de pouvoir partir de ce qu’il se dit et ce qu’il se fait là où on enseigne. 👍
Ca ne fonctionne pas de s’appuyer sur la phonologie pour aborder ces graphèmes, il faut s’appuyer sur l’orthographe lexicale et la sémantique (travailler sur le fait que -ez se rencontre avec vous, que -er se rencontre avec l’infinitif des verbes, le nom des métiers, les arbres fruitiers, etc. Il faut noter aussi qu’à ce stade de l’année, les élèves ont déjà rencontré la plupart de ces graphèmes. Il s’agit d’une page d’institutionnalisation de correspondances grapho-phonémiques déjà connus (rencontre par analogie grâce aux prénoms de la classe, aux noms des couleurs, aux jours de la semaine, des mois, etc. et tous les mots qui contiennent « ai » ou « ei »). »
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Delphine Fournier
Bonjour, je trouve votre méthode très bien faite et j’attends avec impatiente la pochette d’activités. Par contre, j’ai une petite question, pourquoi avez vous mis ai, ei, et dans la même page que le er, ez? Insistez vous avec les élèves sur les différentes prononciations?
Encore bravo pour tout ce travail !!
Chat d'école
Bonjour, merci pour ce retour ! 🙂
Je me permets de copier-coller la discussion que nous avons eu à ce sujet sur le groupe Facebook de la méthode, en espérant que cela vous éclaire un peu sur notre réflexion !
« Les accents sont en effet des problématiques régionales. Nous précisons dans le guide ressources que chaque enseignant devra adapter la leçon en fonction de la prononciation locale. Dans de nombreuses régions, « poulet » se dit « poulé » et « frais » se dit « fré ». Il est impossible d’uniformiser en une leçon type les différentes de prononciation. Et en même temps, on nous suggère de plus en plus d’être tolérant et ne pas chercher à « déformer » les accents locaux que peuvent avoir les élèves. Donc l’idée, c’est de pouvoir partir de ce qu’il se dit et ce qu’il se fait là où on enseigne. 👍
Ca ne fonctionne pas de s’appuyer sur la phonologie pour aborder ces graphèmes, il faut s’appuyer sur l’orthographe lexicale et la sémantique (travailler sur le fait que -ez se rencontre avec vous, que -er se rencontre avec l’infinitif des verbes, le nom des métiers, les arbres fruitiers, etc. Il faut noter aussi qu’à ce stade de l’année, les élèves ont déjà rencontré la plupart de ces graphèmes. Il s’agit d’une page d’institutionnalisation de correspondances grapho-phonémiques déjà connus (rencontre par analogie grâce aux prénoms de la classe, aux noms des couleurs, aux jours de la semaine, des mois, etc. et tous les mots qui contiennent « ai » ou « ei »). »